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 Gala de Charité [Pepper]

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MessageSujet: Gala de Charité [Pepper]   Gala de Charité [Pepper] EmptyDim 29 Juin - 18:26

Gala de Charité
Pepper & Carol


Les bourgeois c'est comme les cochons, plus ça devient vieux et plus ça devient c..



Carol se sentait légèrement agacée. Elle avait beaucoup de travail mais bien sûr, Steven, son assistant, s’était chargé de lui rappeler le Gala de bienfaisance auquel elle avait promis d’assister le soir même. Merveilleux. Tout bonnement merveilleux. Depuis que la blonde avait en charge la protection de l’Univers au titre de Miss Marvel, bon nombre de choses lui semblaient assez… futiles. Ce gala en faisait indéniablement partie. Les riches propriétaires allaient venir s’enorgueillir de verser 0,0001% de leur immense fortune aux orphelins de la ville alors qu’ils faisaient gentiment dormir les 99,9999% restant dans des paradis fiscaux. Tout bonnement merveilleux. La jeune femme était portant une habituée de ce type de réception. Simplement parce qu’elle y était contraint.

La directrice du SWORD devait représenter l’institution et ce devoir était l’un de ceux qui lui pesait le plus. Naturellement, son séjour en France dernièrement lui avait permis de souffler un peu mais elle n’y était pas restée longtemps. Elle avait d’ailleurs retrouvé là-bas un partenaire de combat qu’elle avait perdu de vue : Logan. Elle préférait ne pas trop penser à ce qui s’était passé là-bas. Et bien sûr, elle n’en avait soufflé mot à Tony lorsqu’elle était revenue. Le mutant était un ennemi de leur camp et si elle était loyale jusqu’au bout, elle aurait dû le neutraliser quand l’occasion se présentait. Mais elle se savait parfaitement incapable d’une telle chose. Non, Logan était un ami, voire plus d’ailleurs. Elle ne pourrait jamais lui faire du mal, quand bien même ils ne seraient pas dans le même camp.

L’avantage de travailler pour le SWORD, c’était que la mutante n’avait pas trop affaire aux luttes fratricides entre les siens. Elle n’aimait pas beaucoup cette loi à dire vrai, même si elle la défendait bec et ongles devant la population entière. Elle le faisait pour Tony, elle lui devait bien cela après tout. Elle lui devait même plus que ça à bien y réfléchir, rien moins que sa chienne de vie. Oui, elle se serait certainement suicidée lorsqu’elle était au fond du trou, sombrant dans l’alcool et la dépression. Elle n’aimait pas se souvenir de cette période troublée. Revoir Logan lui avait rappelé bon nombre de souvenirs heureux et elle ferait mieux de se concentrer là-dessus. Et sur le gala qui l’attendait. Elle quitta le bureau du SWORD à 18h30 et rentra chez elle afin de pouvoir avoir le temps de se préparer. Son chauffeur viendrait la chercher sur les coups de 19h30, la soirée débutant à 20h. Carol était toujours à l’heure.

Arrivant chez elle, elle fut reçu par les bonds incroyables de son chien, un Jack Russell de 5 ans prénommé Jaz. Le chien lui sauta littéralement dans les bras avant de couvrir son visage de léchouilles. Eclatant de rire, elle reposa la boule d’énergie au sol, cette dernière disparaissant immédiatement pour revenir avec une balle dans la gueule qu’elle déposa aux pieds de sa maîtresse pour qu’elle la lui lance. Ignorant cet appel, Carol retira ses vêtements et fila se prendre une bonne douche bien chaude. Ceci fait, elle se sécha soigneusement les cheveux, les brossant ensuite. Elle choisit une robe de soirée aux reflets dorés, mettant en valeur sa chevelure flamboyante. Un peu de maquillage léger, une coiffure relevée pour dégager sa nuque et elle était fin prête. A 19h30 précises, le chauffeur sonna et la jeune femme descendit.

Carol contemplait les rues de la ville, les lumières irradiant vers le ciel. La ville qui ne dort jamais. Elle méritait bien son nom. Carol se souvenait du temps où elle était jeune et où elle avait le temps de sortir s’amuser dans les boîtes branchées de New York. Son travail lui prenait à présent quasiment tout son temps mais elle ne dédaignait pas de temps à autre y retourner pour s’amuser à l’occasion. Il était loin le temps de la jeunesse et de l’innocence. Ca y est, elle pensait comme une vieille. Mais elle en avait tellement vu… Des choses que les humains n’imaginaient même pas. Des choses qu’il valait mieux qu’ils ignorent d’ailleurs. Lorsqu’on avait l’Univers pour limite, la Terre semblait habitée de petits êtres vils et insignifiants qui se débattaient dans leur médiocrité. Mais Carol conservait un attachement profond à sa planète et à ses habitants. Que ce soit les humains ou les mutants d’ailleurs.

Ses rêveries prirent fin lorsque le chauffeur s’arrêta devant l’Empire State Building où était organisé le Gala et que le jeune homme de service lui ouvre la porte. Elle sortit du véhicule et un crépitement de flash l’accompagna. Tout le gratin de la haute société était là alors évidemment les paparazzi et journalistes officiels étaient de sortie. Elle adressa quelques sourires, des petits signes de main et monta la volée de marche qui l’amenèrent jusqu’au grand hall. Une grande salle avait été spécialement réservée pour l’occasion. Des lustres en cristal avaient été installés et donnaient une impression majestueuse et opulente. Il n’y avait pas que de la misère chez les riches.

Aussitôt entrée, une foule de personnalité s’amassa autour d’elle, avide de la saluer. On lui présenta la première fortune de la ville, et puis la deuxième et la troisième… Carol se força à sourire, à être aimable avec chacun. Dieu que cela l’ennuyait. Des vieux barbons qui semblaient avoir mille ans… Qu’est-ce qu’elle foutait là ?? Elle le savait fort bien, ce qu’elle fichait là. C’était politique. Elle aperçut soudain dans la foule un homme aux lunettes de soleil de playboy qui sifflait une serveuse sans aucune gêne pour qu’elle lui ramène un verre. Un sourire illumina le visage de Carol. Tony. Au moins, il allait mettre de l’ambiance. Elle lui adressa un signe de main auquel il répondit.

Le début de la soirée était telle qu’elle l’avait imaginé. Mais ça aurait pu être pire. Vint l’heure du repas. Différentes tables avec des plans indiquant qui s’asseyait où étaient dressées. Carol jeta un coup d’œil. Elle avait trouvé sa tablée. S’installant, elle regarda la jeune femme qui s’installait à ses côtés. Tiens, tiens… Cette chère< /i> Pepper. Chère étant parfaitement ironique. Carol l’observa sans mot dire. Non, décidément le courant ne passerait jamais entre elle. Mais ça n’empêchait pas la politesse.

Bonsoir, Pepper. Vous semblez comme un poisson dans l’eau parmi tous ces requins.

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Virginia P. Potts
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MessageSujet: Re: Gala de Charité [Pepper]   Gala de Charité [Pepper] EmptyDim 13 Juil - 13:37

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Gala de Charité  


    - Mlle Potts ? M’appela ma secrétaire Heather sur le pas de la porte de mon bureau plus que spacieux. Votre rendez vous chez le coiffeur est dans une demi heure, la voiture vous attend en bas. M’apprit-elle avec un sourire alors que je relevais la tête de mes dossiers pour la regarder.  

    - Ah très bien merci ! Vous pouvez rentrer chez vous, ça sera tout pour aujourd’hui. Lui signifias je en terminant de classer quelques papiers. La jeune femme me remercia et ferma la porte pour aller je supposais mettre en place son propre bureau avant de décoller rejoindre son fils de deux ans.  J’essayais autant que je pouvais de lui laisser du temps pour s’occuper de ce dernier et en plus d’avoir aménagé ses horaires de travail, je lui offrais lorsque l’occasion se présentait des après midis voir des journées de libre pour vaquer à ses autres occupations.  Avec els journées cependant chargées que j’avais, je n’en avais cependant pas toujours les moyens.




Fermant le dossier dans lequel j’étais plongée depuis le matin, je me levais de mon siège avant d’étirer mes muscles. A force de rester assise avec le cou baissé pour analyser les donnés que j’avais devant les yeux, j’en venais à en avoir une crampe à la nuque.  Avec un soupir, je massais mon cou de mes mains sans que cela ne fasse pour autant des merveilles.  Je n’aurais qu’à demander à Heather demain matin ou demain après midi de prendre rendez vous avec un spécialiste. Une petite séance avec un ostéopathe entre midi et deux ferait l’affaire. Je n’avais de toute façon pas le temps pour  prendre une journée détente dans un spa avec des masseurs à volonté près à se plier en quatre pour mon bien être. J’avais bien trop de travail à effectuer et de dossier à gérer , analyser et terminer pour me permettre de perdre quelques heures. ce genre d’activité convenait aux femmes riches qui restaient à la maison.  Et de toute façon, je n’aimais pas vraiment ce genre de choses. Je finissais souvent par m’y ennuyer royalement.  Je ne supportais  pas l’inactivité. Je ne pouvais pas rester allonger dans un bain à remous pendant plus de dix minutes avant que mon cerveau ne se remette au travail. Même sans avoir les dossiers matériels devant moi, j’étais capable de mener à bien la conclusion d’un contrat en réfléchissant seulement dans l’intimité de mon esprit. Depuis le temps que je faisais mon métier, j’avais appris quelques astuces pour ne jamais perdre en efficacité. En outre, j’avais toujours eu une bonne mémoire. Et cela m’aidait grandement dans mon quotidien professionnel comme personnel.  Bien entendu, une secrétaire n’était jamais de trop pour me rappeler mes innombrables rendez vous et surtout ceux que je jugeais comme étant les moins important. Les rendez vous personnels en tête de liste.  Une fois que je me fus assuré que mon espace de travail était correctement rangé, j’attrapais mon sac à main et quittais les lieux. Je dus cependant faire demi-tour en me rendant compte que j’avais oublié d’emporter mon téléphone portable avec moi. Je grognais et secouais mes longs cheveux roux et rebroussais chemin. J’allais finir par arriver en retard.  Rouvrant la porte fermée à clés de mon bureau, je me déplaçais rapidement à l’intérieur de ce dernier pour trouver l’objet manquant.  Sortir de la tour ne fut pas bien long après ça. Il ne fallait guère que quelques minutes pour passer les hautes portes automatiques. Comme prévu, la voiture noire censée m’amener chez le coiffeur attendait sagement devant l’entrée. Me voyant arriver, mon chauffeur sortit du véhicule pour m’ouvrir la portière arrière. Avec un bonjour et un sourire de remerciement je me glissais dans l‘habitacle et bouclais ma ceinture. La voiture ne fut pas longue à démarrer et à s’enfoncer dans les rues toujours encombrées de la grosse pomme. A force on finissait par s’y habituer. Jetant un coup d’œil à la montre attachée autour de mon poignet, je me rendis compte sans mal que j’allais avoir plusieurs minutes de retard sur l’heure prévue.   Par politesse, je déverrouillais mon téléphone et appelais le salon pour les prévenir.  C’était la moindre des choses. Et être respectueux d’autrui et de son travail était quelque chose de très important. Je détestais toutes ces personnes qi sous couvert d’avoir de l’argent se permettait tout et n’importe quoi sans jamais s’excuser. L’argent ne donnait pas un passe droit. Ou plutôt si il en donnait un et je trouvais ça totalement abject. Combien de fois l’avais je répété à Tony lorsqu’il arrivait plus que tard à des évènements importants ? Des centaines de fois. Instantanément, je me renfrognais. Depuis notre dispute houleuse, je préférais ne pas penser à lui et à ses manies aussi énervantes qu’attachantes. A vrai dire, je devais même m’y forcer tant la tâche était difficile. J’avais passé 12 ans de a vie à m’inquiéter pour lui à toutes heures de la journée, à penser à ce qu’il faisait, ou il était et dans état lorsque je ne l’avais pas sous les yeux qu’aujourd’hui ne plus le faire me paraissait impossible.  Triste de la situation dans laquelle nous nous trouvions, je rejetais la tête vers l’arrière et vins chasser de l’index l’eau qui commença à s’installer au bord de mes yeux. Tony était important pour moi. Plus que je ne pouvais encore l’imaginer même si je commençais plus que jamais à m’en rendre compte tant la peur de le perdre me nouer les entrailles jusqu’à m’empêcher de m’alimenter ou dormir. Néanmoins, cette fois ci il était allé trop loin. Il était trop engoncé dans ses rêves et théories pour se rendre compte de la chute. Un jour les plus tard ne voudront plus rien dire parce que la course aura touché son but. Le monde et le temps n‘attendent personne.  Raclant ma gorge, je chassais mes sombres pensées lorsque mon chauffeur m’informa que j’étais arrivée à destination. Il avait choisi sa vie et son destin.   Le seul choix qu’il me restait était de tout simplement m’éloigner au  maximum pour éviter de souffrir.  Et même si je savais au fond de moi que j’en souffrirais quand même et voir plus considérant le fait que j’avais abandonné le combat contre lui, je voulais croire que je pouvais armer mon cœur de manière suffisante ave de la distance. L’espoir était un poison redoutable.  Peut être qu’à force de me le répéter, je pourrais finir par y croire réellement et à m’en persuader.



Ouvrant la portière, je sortis du véhicule  tout en ayant au préalable informé mon chauffeur de revenir dans trois heures. Ce dernier hocha la tête et démarra une fois que j’eus clos la portière.  Je restais quelques secondes sur le pas de la porte du salon de coiffure auquel je me rendais depuis près de dix ans pour reprendre contenance. Je n’allais décemment pas rentrer avec une tête d’enterrement.  Même si les propriétaires étaient des femmes discrètes, les clientes elles ne l’étaient pas forcément et je préférais autant que possible éviter les questions indiscrètes.  Lorsque les gens connaissaient notre visage et votre nm, ils ne se gênaient que peu pour vous demander des informations extrêmement personnelles.  Je ne pouvais même plus compter sur les doigts de mes mains le nombre de fois où l’on m’avait demandé au détour d’une conversation si Tony était aussi bon au lit qu’on le disait. La question ne manquait jamais de me faire ouvrir les yeux en grands. En plus ce n’était pas si comme si je pouvais répondre à cette question. Je n’en savais rien. Et même si je le savais je n’aurais de toute façon rien dit. Cela coulait de source. Avec un sourire que je savais surfait mais pourtant assez naturel sur mes lèvres, je poussais la porte et pénétrais dans l’espace au doux parfum. La plus âgée des salariées présentes vint m’accueillir et me délesta de mon sac à main.  D’une main elle m’invita à la suivre puis à m’installer devant l’un des lavabos libres et propres. Je ramassais mes cheveux pour les poser dans le bac avant de m’installer le plus confortablement possible. Cette partie me donnait toujours des raideurs dans la nuque qu’importe la position que j’adoptais.  



    - Qu’est ce qu’on fait aujourd’hui Mlle Potts ? me demanda-t-elle en allumant l’eau pour commencer à me la passer sur les cheveux. La température vous convient ? S’enquit-elle comme à son habitude.- C’est parfait Eva. La rassurais-je. J’ai un gala de charité ce soir, vous croyez que vous pouvez faire quelque chose de ma tignasse rousse? la questionnais je. - J’ai des doigts de fée, je trouverais quelque chose de magnifique à faire. Vous serez la plus belle comme d’habitude ! déclara t-elle me m’arrachant un rire  amusé pour la première fois de la journée.



Fermant les yeux, je me relaxais finalement de manière progressive. J’étais bien décidée à profiter de ces quelques heures avant le gala pour retrouver mon calme olympien et chasser mes mauvaises pensées.  Et quoi de mieux pour cela qu’une séance chez le coiffeur ou je pouvais librement me laisser pouponner ?  De toute façon, ce n’était pas comme si je pouvais éviter cette étape primordiale.  Alors autant essayé d’en profiter au maximum. Et puis c’était pour la bonne cause.



_ _ _ _ _ _ _ _


Le trajet  jusqu’au lieu de réception s’effectua dans un silence pesant. Même happy installé au volant seulement pour ce soir, ne semblait pas vouloir décrocher un mot de peur de faire sauter définitivement la bombe. Les mâchoires serrées, je me contentais  de regarder par ma fenêtre pour tenter de calmer mes nerfs.  Pour m’aider, je « m’amusais » à compter les voitures que nous dépassions ou qui nous dépassaient. C’était un jeu enfantin mais qui savait faire son effet. Et de toute façon, je ne pouvais pas compter sur Tony assis à mes côtés pour détendre l’atmosphère. Il était plongé dans son téléphone portable depuis que nous étions partit  et ne m’avait pas adressé un regard. Je ne savais même pas pourquoi il était là à vrai dire. Je savais par expérience, que ce genre de gala de charité l’ennuyait.  A part si il cherchait une présence féminine pour se divertir. Mais cela n’était pas dans ses projets. Du moins, il ne me semblait pas.  Difficile d’être sure à 100% de ce qui se passait dans sa tête.  Inspirant profondément je me forçais à prendre du recul.  Pas sur notre dispute parce que j’étais persuadée d’avoir raison et qu’il était hors de question que je m’excuse de tenir à lui.  Il ne manquerait plus que ça. Il avait fait son choix et j’avais fait le mien. Maintenant il fallait juste s’y tenir. Et je ne comptais pas craquer de lui concéder la victoire. Pas sur quelque chose aussi important que sa santé.  La berline ne tarda pas à s’arrêter face à l’entrée de l’un des bâtiments les plus connu de la ville. Sans attendre, j’ouvrais ma portière et sortis de la voiture. Sans surprise, les flashs ne tardèrent pas à me rendre partiellement aveugle.  Instantanément, j’installais un sourire le plus heureux et naturel que j’avais en réserve sur mes lèvres peintes avec une couleur un eu plus foncé sur leur couleur naturelle. Postée sur le tapis rouge, je posais pour les photographes avec habitude. D’une main  sur la hanche, je tournais on visage à droite et à gauche pour distribuer des sourires sur joués. Estimant que cela suffisait, j’adressais un signe de la main à la foule avant de me déplacer dans ma longue robe noire. Je ramassais cette dernière en arrivant près des marches qui menaient à l’intérieur pour éviter de me prendre les pieds dedans.  La main su maire de Ne York apparut devant mes yeux alors que je commençais mon ascension.  Je lui offris un sourire ravissant avant de me saisir de cette dernière. A ses côtés, je gravis l’escalier et pénétrais dans la pièce finement décorée.  Le maire me présenta ses associés que je connaissais déjà pour la plupart et je me retrouvais alors à entamer une conversation en tout point ennuyante sur la politique de notre état et de notre ville avec eux.  Je passais le plus clair de mon temps à sourire et à écouter leurs opinions sans donner la mienne. J’étais plus subtile que ça. Par chance, je fus rapidement arrachée à la conversation par deux femmes en tout point élégante. Je les complimentais sur leurs tenus et les remerciais lorsqu’elles en firent de même.  Je m’enquis de leu état et les laissais m’expliquer combien la vie dans les Hamptons était difficile. Je me retins de faire un commentaire et m’excusais lorsque l’occasion se présenta à moi. La première demi heure du gala se passa ainsi. Je croisais Tony une ou deux fois, fut invitée dans la conversation par ses interlocuteurs  et m’éclipsais aussi vite.  Je n’avais pas le cœur à me tenir à ses côtés. Je ne savais pas si mon masque pourrait tenir en place si je le faisais de toute façon.


Après encore quelques minutes de bavardages avec des personnes bien différentes les unes des autres, je fus invitée à rejoindre ma table.  Je remerciais le serveur avec un sourire lorsqu’il me présenta cette dernière. Je marquais un temps d’arrêt lorsque je fus contrainte de m’asseoir à côté de Carol Danvers. Décidemment, ce n’était pas mon jour. Je ne détestais pas la jeune femme mais je ne l’aimais pas forcément non plus. Disons que j’avais toujours trouvé qu’elle était une mauvaise fréquentation pour Tony. Deux alcooliques notoires ensemble ne pouvaient pas donner quelque chose de bon. J’étais probablement un peu dure avec elle mais c’était ainsi. Ce qui ne m’empêchait pas de me montrer courtoise avec elle et de respecter son travail.  Et puis si je devais me montrer tout à fait honnête, j’avais plus d’une fois était jalouse de cette femme. Chose que je n’avouerai jamais à voix haute bien entendu. J’avais ma dignité et ma fierté après tout.


    -Bonsoir, Pepper. Vous semblez comme un poisson dans l’eau parmi tous ces requins. Me salua t-elle lorsque je me laissais finalement tomber à ses côtés avec une certaine grâce.

    - Bonsoir Carol. Lui répondis-je pareillement. J’ai quelques années d’expérience dans le domaine je dois avouer. Après ça devient aussi naturel que respirer. Lui soufflais-je avec un sourire poli avant de verser de l’eau dans mon verre.  Tony se matérialisa à mes côtés quelques secondes pour nous apprendre qu’il quittait les lieux suite à un appel d’urgence. Voilà qui est fait. M’amusais-je faussement. Je dois avouer que je suis un peu surprise de vous trouver ici. Lui signifiais-je en me retournant vers elle.  Je ne savais pas que vous vous intéressiez à ce genre de célébration. Continuais je avec la même politesse.


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MessageSujet: Re: Gala de Charité [Pepper]   Gala de Charité [Pepper] EmptyDim 3 Aoû - 18:52

Gala de Charité
Pepper & Carol


Les bourgeois c'est comme les cochons, plus ça devient vieux et plus ça devient c..



Carol était arrivée à l’heure au Gala, comme à son habitude. Les journalistes présents sur les marches s’étaient empressés de prendre moult photos, les flashs illuminant le tapis rouge de l’entrée et éblouissant la jeune femme. Elle était toujours plus ou moins impressionnée par le tapage qu’il pouvait y avoir autour des célébrités. Car indéniablement, elle faisait partie des célébrités. Les gens guettaient ses faits et gestes, les personnes qu’elle fréquentait, les amants qu’elle pouvait avoir. Non, vraiment, elle n’avait jamais compris la frénésie qui s’emparait du commun des mortels devant des gens qu’on disait importants. Dieu sait que Carol ne se considérait pas comme indispensable à la marche du monde. Certes, elle avait un poste à responsabilité qu’elle essayait de gérer au mieux. Mais cela ne justifiait nullement selon elle qu’on s’intéresse de trop près à sa vie privée. On avait exhumé son passé d’alcoolique et des photos d’elle avaient circulé dans les tabloïds. Carol tentait de les ignorer du mieux qu’elle pouvait mais cela lui était déjà arrivé de péter un boulon et d’insulter des paparazzis qui l’exaspéraient. Ce n’était pas la meilleure façon de se faire des amis ni des bonnes relations dans la presse.

La jeune femme n’avait pourtant pas la notoriété de Tony. Lui était réellement sous le feu des projecteurs nuits et jours. Chacun voulait savoir qui le playboy avait choisi pour être dans son lit en ce moment, quel dernier costard il portait et où on pouvait se le procurer, quelle armure avait-il encore construite. Carol se demandait parfois comment il faisait pour ne pas craquer sous la pression. Mais Tony avait vécu cela toute sa vie, depuis l’enfance. On n’était pas le fils du célèbre Howard Stark sans avoir laisser sa vie privée en pâture aux journalistes. Carol, elle, n’avait pas eu la même vie, le même parcours. Aussi avait-elle plus de mal à s’y faire.

A propos de Tony, elle ne fut pas longue à l’apercevoir dans la foule, lui adressant un grand sourire. Il lui répondit mais elle fut rapidement prise à parti par quelques membres de l’armée qui tenaient à lui parler concernant les éventuelles menaces extra-terrestres. Elle les rassura, tout était sous contrôle, aucun sujet d’inquiétude. Carol connaissait son métier, bien que nombre de généraux aient toujours du mal à comprendre pourquoi une femme avait été placée à un poste aussi stratégique. On murmurait que sa relation avec Tony était la seule responsable de sa nomination à ce poste, bien plus que ses compétences. On disait également que son pouvoir lui permettait de faire illusion car, oui, il était puissant. Mais cela ne garantissait nullement une approche stratégique fine ni même un sens de la diplomatie avéré.

Carol ignorait ses remarques inutiles et blessantes. Elle faisait son boulot du mieux qu’elle pouvait. Elle se donnait entièrement à son travail et elle ne chômait pas, c’était le moins qu’on puisse dire. Elle avait toujours été passionnée par l’espace, petite elle désirait être cosmonaute. Mais elle n’avait pas réalisé ce rêve. Elle avait pourtant trouvé l’occasion de le rejoindre d’une façon détournée. Et elle ne le regrettait pas même si du coup, les affrontements terrestres lui paraissaient parfois très éloignés de ses préoccupations pour l’Univers.

Elle navigua entre les personnalités, saluant l’une, embrassant l’autre, histoire de ne froisser aucune personne importante. L’environnement mondain pouvait être particulièrement susceptible si vous aviez le malheur de saluer une personne et pas une autre. Carol n’aimait vraiment pas se retrouver ici, elle avait l’impression d’être piégée, de se sentir étouffée par les politiciens et leurs femmes.

Carol avait siroté un verre, en compagnie de deux femmes aux bijoux éblouissants et elle avait rapidement pris la fuite, rejoignant sa table. Lorsqu’elle tourna la tête en direction de sa voisine, elle eut la surprise de découvrir la secrétaire de Tony, celle qui gérait à présent Stark Industry, Pepper. On ne pouvait pas dire que les deux femmes se portaient une grande affection. Carol avait toujours vu Pepper comme une femme stressée, stressante et trop loin de ses préoccupations pour qu’elles se rapprochent véritablement. Elle avait parfaitement senti l’animosité de Pepper envers elle, surtout lorsqu’elle fréquentait de façon plus proche et assidue Tony. La secrétaire avait certainement su qu’elle avait eu un lien plus qu’amical avec son patron. Concevait-elle de la jalousie de cela ? Carol ne le savait pas mais c’était une hypothèse à ne pas négliger. Tony avait l’air contrarié durant la soirée, quelques petits éléments lui avaient mis la puce à l’oreille et Carol se demandait si cela ne venait pas de quelque chose entre sa secrétaire et lui.

Qu’à cela ne tienne, elle avait tout de même salué poliment sa voisine de table, tout en lui faisant remarquer qu’elle semblait comme un poisson dans l’eau dans cet univers qui lui était, à elle, bien étranger. Pepper lui répondit avec la même politesse, les deux jeunes femmes n’étaient pas non plus à couteaux tirés l’une envers l’autre. Carol hocha la tête.

Je vois, j’espère bien ne jamais obtenir l’expérience dont vous sembler si fière, je ne serai guère capable d’y survivre, je crois.

Tony apparut rapidement auprès de la rousse pour lui indiquer qu’il devait quitter les lieux, appel d’urgence oblige. Il adressa un petit clin d’œil à Carol avant de filer. La blonde reporta son attention sur la rousse. Cette dernière semblait étonnée de la trouver ici. La directrice du SWORD était en effet assez rare à ce type de soirée. Carol poussa un soupir profond avant de boire une gorgée d’eau et de répondre.

Oui, je ne suis pas coutumière de ce genre de soirées et je ne tiens pas spécialement à le devenir. Je m’étais engagée à venir et je n’ai malheureusement trouvé aucun impératif urgent pour m’y soustraire. Mon secrétaire m’a gentiment rappelé l’heure de la soirée et m’avait déjà commandé un chauffeur pour m’y conduire. Impossible de dire non.

Mais Carol avait tiqué sur le comportement de Tony et elle demanda d’un air faussement innocent :

Tony ne semble pas vraiment dans son assiette, des soucis ?

[hj: J'ai honte, c'est beaucoup plus court que toi... :S J'essayerai de faire mieux la prochaine fois]

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MessageSujet: Re: Gala de Charité [Pepper]   Gala de Charité [Pepper] EmptySam 9 Aoû - 0:08

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Gala de Charité  


Tony maintenant partit, j’étais la dernière représentante de la société à ce gala de charité. Il me fallait donc faire bonne figue et acte de présence. Malgré le fait que sans me cacher, je m’ennuyais déjà, je ne pouvais pas quitter la soirée tout de suite. Il allait falloir que je distribue sourire sur sourire pendant plusieurs heures avant de pouvoir le faire. C’était comme ça, je m’y étais faite depuis le temps. Le jeu de l’apparence était quelque chose de très important dans un milieu comme celui-ci.   Le moment opportun ou je pourrais enfin me libérer de mes obligations et entrer chez moi rejoindre ma baignoire arriverait bien. En attendant, il me suffisait de prendre mon mal en patience et espérais que j’arriverais à  avoir une ou plusieurs conversations intéressantes pour faire passer le temps plus vite. Tout était plus rapide lorsqu’on avait quelque chose d’intéressant à faire.  Et puis, il était hors de question que Stark Industries ne figure pas sur la liste des donateurs.  Nous donnions généreusement une coquette somme d’argent à chaque fois, cette année ne serait pas différente. Et puis ce n’était pas comme si la cause n’était pas louable. Ces enfants orphelins dont le nombre ne cessait de croitre avec els diverses guerres et autres évènements tragiques de ces dernières années en avaient bien besoin. Ils méritaient d’avoir les mêmes chances dans la vie que les autres enfants même si ils étaient sans parents et qu’ils leur manqueraient forcément l’amour d’une famille.  Au fond je priais pour que chacun des enfants trouve u refuge et une famille d’accueil aimante.  Les êtres humains n’étaient pas faits pour vivre seuls. Nous avons besoin d‘amour, de tendresse, de rire, de joie mais aussi de reconnaissance. Nous avions besoin d’avoir  au moins quelqu’un pour  croire en nous lorsque nous même ni arrivions plus. Nous avions besoin de soutien. Nous avions besoin d’être la fierté de quelqu’un et de représenter le monde pour une personne.   Faire famille d‘accueil était quelque chose pour moi de très important. J’avais même tenté l’expérience quelques années auparavant. J’avais seulement du me rendre à l’évidence que ce n’était pas pour moi. Non pas parce que je n’étais pas douée avec les enfants. Au contraire, j’avais toujours eu un instinct maternel asse développé. Les bébés ou els jeunes enfants avaient toujours su me faire fondre et me transformer en la grosse guimauve que je me savais être au fond de moi sous mes airs de  femme d’affaire froide et professionnelle. Cependant, je n’avais pas assez de temps pour cela. Mon travail était bien trop prenant et chronophage.  Je passais la majeure partie de mes journées dans mon bureau ou en salle de réunion. Et même lorsque je rentrais à la maison, je ne m’arrêtais pas de travailler pour autant sauf si j’avais épuisé mes batteries.  Etre la directrice adjointe d’une multinationale de cette ampleur demandait une attention de tous les instants. Il y avait toujours du travail, toujours des choses à faires, toujours des voyages à effectuer et des coups de fils à passer. Ce n’était pas un endroit sain pour un enfant. Un gamin ne pouvait pas grandir dans ses conditions.    Un petit bout de chou avait besoin de temps et je ‘en avais pas assez. J’avais de l’amour à revendre certes mais ce n’était pas suffisant. Cela ne serait jamais suffisant.  Donner  une somme d’argent suffisamment importante pour subvenir à certains de leurs besoins était alors la seule chose que je pouvais faire.  Ce qui faisait que généralement, je glissais également un chèque à mon nom dans l’urne des dons.  Je ne manquais pas d’argent et contrairement à ce que l’on pouvais penser je n’étais pas forcément dépensière.  Il m’arrivait de faire des folies come tout un chacun mais cela restait tout de même assez rare.


    -  Oui, je ne suis pas coutumière de ce genre de soirées et je ne tiens pas spécialement à le devenir. Je m’étais engagée à venir et je n’ai malheureusement trouvé aucun impératif urgent pour m’y soustraire. Mon secrétaire m’a gentiment rappelé l’heure de la soirée et m’avait déjà commandé un chauffeur pour m’y conduire. Impossible de dire non. Déclara ma voisine de table en me sortant de mes divagations et autres pensées personnelles. Les lèvres posées sur le rebord de mon verre à pied, je  pris une petite gorgée  d’eau avant de lui adresser un sourire courtois bien que sincère.

    - Avec un peu de chance, quelque chose de plus important demandera votre présence et vous pourrez vous échapper de la réception pour vaquer à vos obligations de directrice du SWORD ou de Vengeur.  Lui répondis je en reposant mon verra sur la table face à mon assiette encore vide et décorée élégamment avec une serviette en papier pliée de façon à former une rose. Et puis, si on veut trouver une excuse pour s’éclipser on y arriver toujours. Au pire, je sais qu’ils laissent toujours la porte de derrière ouverte pendant ce genre de repas. Il vous suffit de traverser les cuisines pour vous retrouver dehors sans avoir à serrer la main de tout un tas de personne et sans vous faire voir par les photographes postés à l’entrée. Lui appris-je en haussant légèrement les épaules. Je n’avais jamais fait ce genre de chose. Je le savais simplement parce que Tony lui s’y amusait assez souvent. Et les trois quarts du temps en oubliant de me prévenir ce qui faisait que je le cherchais à trouver toute la pièce avant de me rendre compte qu’il avait filé à l’anglaise.

    - Tony ne semble pas vraiment dans son assiette, des soucis ? Me questionna finalement Carol avec une curiosité que je n’aimais guère.  Je restais cependant impassible et gardais mon sourire fermement en place..


    -  Il est très préoccupé par ce qui se passe en ce moment. On ne peut pas dire que sa situation soit aisée et il croule sous les responsabilités. Déclarais je en omettant  volontairement une grosse partie des soucis qu’il pouvait bien rencontrer même si de cette manière j’en englobais certainement les trois quarts. Je suppose que vous savez ce que c’est. Rajoutais-je en reprenant mon verre que j’apportais à mes lèvres soudainement sèches




J’espérais que Carol ne pose pas plus de questions. Je ne me voyais en aucun cas lui raconter ma vie privée. La dispute que j’avais eue avec Tony a propos de sa santé, la gifle que je lui avais mise et les mots emplis de dureté que nous avions échangés relevait d’un cercle personnel. Cela ne la regardait en rien. Tony la considérait peut être comme son amie mais pour ma part même sans la détester je ne la considérais pas comme telle. Et puis je doutais beaucoup que Tony daigne lui dire la vérité si jamais elle allait jusqu’à lui poser des questions pour avoir des réponses. Quant à moi si elle se mettait à insister,  je me verrais dans l’obligation de la rembarrer.  De manière polie et avec le sourire bien entendu.  Il y avait des sujets qui ne regardaient personne d’autres que nous et notre groupe très restreint et fermé de proches amis.  A savoir essentiellement Rhodey et Happy pour le coup. Et en ce qui me concernait, il était vrai que mon groupe fermé de proches s’arrêtait là.  Je n’avais que très peu d’amis et cela ne m’avait jamais vraiment dérangé. De toute façon j’étais une femme bien trop occupée, pour avoir une vie sociale trop développée.  C’était un fait et je m’en étais accoutumée il y avait de cela des années en étant recrutée par feu Howard Stark.  Une main   aux doigts bagués se posa sur mes épaules. Surprise, je sursautais légèrement, et tournais mon regard vers la nouvelle arrivante. Un sourire illumina mon visage.


    - Zoey, je suis contente de vous voir. M’exclamais-je en repoussant ma chaise pour me lever.  La femme d’une quarantaine d’années s’empressa d’embrasser mes deux joues, ravie également de m’avoir à sa table.  Finalement avec une personnalité aussi intéressante et pleine de vie que Zoey, ma soirée ne serait peut être pas perdu en dialogue inutiles.  Carol, je vous présente le docteur Zoey Jacobs. Le meilleur chirurgien de tout New York . Présentais-je. Et certainement de tous les Etats-Unis. Rajoutais avec un sourire.

    - Oh pepper mon amie vous êtes bien trop bonne avec moi. déclara t-elle en laissant échapper un rire amusé avant de serrer la main de ma voisine. Elle est toujours en train de me flatter.  Lui appris t-elle alors que je levais les yeux au ciel amusée au fond par son comportement. - C’est amplement justifié. Rétorquais-je en me rasseyant. Qu’est ce que je peux vous servir à boire ? lui demandais je par la suite une fois qu’elle eut pris sa place.


    - Un verre de vin blanc serait très apprécié. Me répondit-elle en avançant son verre dans ma direction. Avec un sourire, j’attrapais la bouteille déjà débouchée et inclinais l’objet pour verser le liquide. Merci bien. Souffla t-elle alors que j’optais également pour m’en servir un peu. Je ne demandais évidement pas à Carol pour éviter de lui rappeler ses vieux démons et déplaçais consciencieusement les bouteilles pour ne pas qu’elle les ait sous le nez. Nous n’étions que des connaissances mais cela ne m’empêchait pas de faire attention à ce genre de détail.  Et bien qu’il m’arrive d’être jalouse d’elle et de son physique accrocheur qui faisait chavirer tous les hommes, je n’allais pas la jeter sciemment au fond d’une bouteille de vin. Ce n’était pas mon genre.  Zoey ne fit aucune remarque et entama guillerette une conversation légère entre nous trois.  Je me retrouvais donc bientôt à rire de ses blagues souvent crues en essayant de me cacher derrière mon verre. Les médecins avaient une langue bien pendue.

    - Et donc Carol comment cela se passe t-il au SWORD  pour vous ? Questionnais je finalement après plusieurs minutes alors que la conversation repassait  sur le boulot qui était l’intarissable sujet de conversation.   Etre directrice d’un tel organisme vous plait il ? Terminais je alors que l’entrée faisait enfin son apparition sur les tables.

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